• Certains passages dans la rivière

    Avaient été colonisés

    Par une unique  bactérie

    Il aurait fallu traverser à gué.

    Inconcevable pour le ru

    Qui se gonfla lors d’une crue

    Il se voulait fort et fier

    Orgueil qui fit mal que pis.


    Et quand il rejoignit le fleuve

    De la vie turbulente menée

    Il resta des séquelles honteuses

    Indélébiles à en crever.

    Il est aujourd’hui dans mon  cœur

    Près de l’embouchure, de la mer

    Qui noie les chagrins, les rancœurs

    Et le salé n’est pas amer…

    Petite chose dans mon âme

    Empreinte d’un passé révolu

    Ce petit ru reste la flamme

    Du prince à jamais perdu…


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  • Le petit ru de mon enfance
    Se promène avec insouciance
    Il rit, il court, il saute, il chante
    Et le soleil fait miroiter
    Sa transparence, sa pureté.
    L'effronté aime éclabousser
    Les grosses pierres bien calées
    Qui lui jalonnent un parcours
    Afin qu'il accède au long cours.
    Candide, il suit donc le chemin
    Route bucolique, flânerie charmante
    Les soucis y soignent les chagrins
    Semés par le vent jardinier.
    C'est dans ce climat serein
    Que le ru de mon enfance
    Aborda l'adolescence
    En se jetant dans la rivière
    Auquel il signa un blanc-seing
    Pour qu'elle l'emmène ailleurs
    Ce fut sa plus grande erreur.
    A suivre...


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  • Blanche et noire est la pie
    Qui vole et a dans son nid
    Six mots, vous avez compris?
    "Je vous aime, des mots bénis"...

    Pianissimo, la mélodie
    Piû forte certains couplets
    Staccato les mots choisis
    Vibrato cette amitié.

    Meno forte la rancœur
    Morendo cette colère
    Union des mots dans un chœur
    Ainsi naissent les prime-vers...

    Oui, le printemps sera là
    L'hiver cèdera le pas
    L'âme reprendra ses droits
    Et l'oiseau s'envolera...

    Aérien, même si fragile
    Dans le ciel dessinera
    Circonvolutions subtiles
    Que seul l'initié verra...

     A vous, les joueurs de mots, les flûtiaux dont la mélodie charme mes oreilles qui du coup sourient...


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  • Sur les murs lisses de l'hôpital, on devine des traces noires
    Mascara de la souffrance. Les notes s'y sont écrasées
    Importunes, elles ont glissé, le long des parois étanches
    Cris en croches ou triolets, de silences en rondes blanches
    Cacophonie étouffée, celle qu'on nomme désespoir.

    Tous les sons sont calfeutrés, j'aperçois une demi-pause
    Qui sans doute a ricoché, elle gît, aphasique, morose
    Je m'approche à pas de loup, m'agenouille auprès d'elle
    Son silence m'interpelle, mais je respire son courroux
    Et voilà que tout à coup, je me dis "Il faut que j'ose!"

    Dans le couloir froid et triste, je me mets à fredonner
    Je deviens le clown artiste, celui qui vient recolorer
    Les odeurs aseptisées, métamorphose en senteurs
    Celles qui vous font vous évader, vous mettent en apesanteur.
    Je chante le vent dans mes cheveux, les embruns sur mon visage

    Je chante les rivages heureux, et mes courses sur la plage
    Hermès me prête ses ailes ; je transporte un message
    Il m'est cher et précieux : un simple rayon de... soleil....

    Lou


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  • Pourfendre d'un coup d'aile les nuages
    Déchiqueter un ciel plombé
    Pour entamer le grand voyage
    Quête du Graal ensoleillé

    Mais si les ailes sont de cire
    Sceau de ce  passé cacheté
    Soudainement elles se déchirent
    Larmes rouges, Icare éploré.

    Et on se met à tournoyer
    Vertigineuse est la chute
    Brûlures intenses à en crever
    Inégale devient la lutte.

    On croyait toucher le soleil
    Ébloui par l'inaccessible
    L'orgueilleux convoitait le ciel
    Il se pavanait, l'invincible.

    Or le "in" a pesé trop lourd
    Le casuiste a tranché pour lui
    Faisant fi des grands discours
    Il a condamné le maudit.

    Mais ceci n'est qu'une fable
    A la morale insupportable
    Cessez donc de me lire...
    Apposez votre cachet... de cire....


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  • Cette fois, c'est à Amiens, dans le nord de la France

    On the road again, nous nous sommes retrouvés

    La porte grande ouverte, nous avons fait bombance

    Notre hôte généreux n'avait rien oublié!

    Fous rires contagieux entre "chcopain, chcopine"

    Echanges philosophes, discussions libertines

    Panel de sensations, canal et cathédrale

    Dans les hortillonnages ou au faîte du clocher

    Cette rencontre-là reste dans les annales

    Les photos en témoignent, visages épuisés!

    Mais qui rayonnent encore de ces riens partagés

    L'album s'est ouvert, on va le compléter...


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  • Deux jours simples, de vraies vacances,

    Une bouffée d'air, juste en France

    Un petit coin de Normandie,

    Non de Bretagne, jalousie

    Classé dans le plus grand des patrimoines

    Une baie où vécurent des moines

    Quelques amis, éclats de rire

    Des ti punch, des souvenirs

    Une bande de motards en délire

    Une amitié au sens vrai

    Même la nuit (!) paix ébranlée

    Chacun égal à lui-même

    La moto nous a fait vibrer

    L'affection naît comme un poème

    Celui qui rime sans s'efforcer...

    Un lien se tisse, fil solide

    On va enfin se retrouver

    Le hareng sera notre égide!

    Etre tous ensemble, simplicité...

    Encore et encore partager...




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  • La nuit tombe sur la semaine

    Les jours se sont écoulés

    J'ai retrouvé non sans peine

    Le chemin des écoliers.

    Mes pirates m'attendaient

    A l'abordage se sont lancés

    Prêts à voler, piller, sabrer

    Mes réserves de volonté.

    Il en faut de l'enthousiasme,

    De l'énergie, de la passion

    Pour satisfaire ces polissons

    Et je le dis sans sarcasmes

    Mon métier est une vocation...

    Que ceux qui le honnissent sans cesse

    Viennent un jour sur mon bateau

    Quand la houle, avec rudesse

    Le ballotte sur les flots.

    C'est pourtant avec tendresse

    Que je viens poser ces mots

    Sur des pirates au coeur gros

    Qui ont vaincu ma forteresse...



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  • Toi

    Dans la grisaille de l'automne,  cette journée-là tu as surgi
    Un soleil sur la toile morne, vrai fantôme de cette autre vie
    Où je baignais dans un cocon, celui du monde de l'illusion.

    Ce que j'ai vécu avec toi, je ne peux que le dire tout bas
    Crainte des interdits, des tabous, mais toi tu m'as dit "On s'en fout!"
    Ton regard m'a enveloppée, écrin d'un cœur sans foi ni loi.

    Ce jour-là je t'ai retrouvé, les années s'étaient effacées
    Le soleil était revenu, dans les yeux d'un passé révolu,
    Tous les gris se sont estompés dans la chaleur de l'amitié.


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  • Quiétude de la mer suspendue à l'orage
    Qui noircit l'horizon en fronçant les sourcils
    Les bateaux eux s'agitent comme des coquillages
    Mâts tintinnabulant dérisoires et futiles

    Le port retient son souffle, figé dans cet instant
    Où tout va basculer, caprice de la tempête
    Quand mon cœur soudain bat la chamade, en fête,
    Tiraillé par la peur et l'émerveillement.

    Oui, j'aime l'expression de la nature furieuse
    Qui rappelle aux hommes leur vile condition
    Monstres de vanité irritant l'harmonieux
    Équilibre du Monde  au nom de l'Ambition...


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  • Double avis...Le premier? J'ai ouvert un blog sur netlog, sur lequel je peux tchater... Si l'envie vous en prend... Suivez-moi : je vais laisser le lien... 

    http://fr.netlog.com/jade_fournier

    Deuxième avis... Eh, bien ils s'adressent aux "esprits mal tournés".... Une blague potache... Mais qui m'a plu... Bonne journée...

      Le Petit Ecolier  >           Le petit Thomas demande à sa maîtresse s'il peut lui parler après le cours.        Elle accepte.    La maîtresse : Alors, que veux-tu me dire, Thomas ? Thomas : Je pense être trop intelligent pour rester dans cette classe, je m'embête ! Je voudrais passer directement au Lycée.        Sur ce, le directeur informé, demande à Thomas s'il veut bien passer des tests.          Thomas accepte sans hésiter et le directeur commence le test:          Le Directeur : Voyons voir Thomas, 3 x 4
      Thomas : Douze !
     Le Directeur : Et 6 x 6
      Thomas : Trente six, Monsieur le Directeur.
      Le Directeur : Capitale du Japon ?
      Thomas : Tokyo.

     Le test continue pendant une demi-heure, Thomas ne fait aucune erreur !
      A la fin du test, le directeur est satisfait mais, la prof demande si elle peut à son tour lui poser des questions.

    Tous deux acceptent, et la prof commence:
     
    La Maîtresse : Bon Thomas ! La vache, elle en a 4 et mo i j'en ai 2, qu'est ce que c'est ?
      Thomas : Les jambes, Madame.

    La Maîtresse : Correct. Qu'est-ce qu'on trouve dans tes pantalons et pas dans les miens ? 
     Le Directeur s'étonne de la question...
     Thomas : Des poches, Madame.
      La Maîtresse : Bien, Thomas. Qu'est-ce que les hommes et les femmes ont en plein milieu et qui est en double ?
     
     Le directeur se prépare à intervenir lorsque Thomas répond. 
     Thomas : Les deux « M », Madame.
      La Maîtresse : Où est-ce que les femmes ont les poils les plus frisés ?
     Thomas : En Afrique Madame, répond le gamin sans hésiter.

     La Maîtresse : Qu'est-ce qui est mou mais qui, aux mains d'une femme, devient dur ? 
     Le Directeur ouvre grands les yeux mais Thomas répond :
     Thomas : Le vernis à ongles, Madame.
      La Maîtresse : Qu'est-ce que les hommes et nous les femmes, nous avons au milieu des jambes ?
      Thomas : Les genoux !

     La Maîtresse : Bien. Et qu'est-ce qu'une femme mariée a de plus large qu'une femme célibataire ? 
     Le Directeur n'en croit pas ses oreilles ! 
     Thomas : Le lit, Madame.
      La Maîtresse : Quelle est la partie de mon corps qui est souvent la plus humide ?
      Thomas : Votre langue, Madame.
     La Maîtresse : Quel mot commençant par la lettre « c » désigne quelque chose qui peut être humide ou sec et que les hommes aiment regarder ?
      Thomas : Le ciel ! Affirme Thomas.
     
    Le Directeur soufflant, transpirant comme un sauvage, décide d'arrêter le test et s'exclame : Ce n'est pas au lycée que je vais t'envoyer mais directement à l'université ! Même moi, je l'aurais complètement raté ce test...

     Morale de l'histoire : >    C'est avec l'âge que l'on devient PERVERS !


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  • La rentrée n'a jamais été aussi proche

    Il va falloir que je m'accroche...

    Une kyrielle de projets en poche

    Ca se bouscule, mille anicroches...

     

    Revoir sa manière d'enseigner

    Et balayer devant sa porte

    Pour dépoussiérer la cohorte

    Des savoirs à faire passer.

     

    Ce jour, j'a vu un reportage

    Sur une école américaine

    Dont le credo est "fais c'que t'aimes"

    C'est à dire apprendre comme un voyage...

     

    Voyage sur l'océan de la connaissance

    Avec écueils et récifs

    Sans jamais oublier son enfance

    Pour être fier, se dire "je kiffe"...

     

    Je "kiffe" la grammaire et les sciences

    La géo, les maths et l'histoire

    Une balade en toute conscience

    De mes droits et de mes devoirs

     

    De mon rôle dans l'avenir

    Que je forge pour la liberté

    Celle de pouvoir interagir

    Tout simplement "parce que je sais"...

     

    Voilà le rôle de l'enseignante

    Qui cent fois remet son ouvrage

    Pour que verdissent les pâturages

    Et se parent de couleurs chatoyantes...







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  • C'est un organe complexe fragile comme du verre

    Mon coeur est en morceaux éparpillés ailleurs

    Prisme de ma vie reflétant l'univers

    Dans lequel j'ai vécu des moments de bonheur.

    J'ai laissé une parcelle palpitante en Corrèze

    Une autre gonflée d'amour dans la région de Blois

    Une vie qui se déroule comme sur autant de laizes

    Que l'on déchire au gré des moments où l'on ploie.

    Ce sont les habitudes qui revenant de droit

    Me rassurent, me permettent de panser toutes ces plaies

    Echancrures des départs, séparations forcées...

    Elle est venue me voir pendant deux ou trois jours

    Je ne l'avais pas vue depuis plus d'une année

    Nous nous sommes retrouvées, mais sur un temps si court

    Que j'ai même l'impression de l'avoir rêvée.

    Le destin si étrange aujourd'hui a tranché

    Nous ne nous verrons plus avec cette insouciance

    Que nous avions encore il n'y a pas si longtemps

    Intraitable destin qui détruit les alliances

    D'une amitié construite il y a vingt-cinq ans.

    Mais le coeur s'adapte aux fantaisies de l'âme

    Donc point n'est le propos d'y ajouter un blâme

    Et aujourd'hui je suis dans cette région de Blois

    En pensée avec ceux de mon sang, de ma chair

    Pour souhaiter un beau et tendre anniversaire

    A mon fils, mon lion, en ce jour le Roi....






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  • La Besse, mon village peuplé d'ombres

    Où derrière les volets clos

    Celles-ci chuchotent à la ronde

    L'histoire d'un petit hameau

    Humble, terrien, sincère, sans fard

    Mais riche de tant d'anecdotes

    Mon enfance y a sa part

    Son air est un antidote

    Qui un jour m'a ranimée

    Marionnette désarticulée...

    Petit village, pierres séculaires

    Refuge pour moi salutaire

    Microcosme où je revis

    Espoir d'une renaissance bonheur.

    Petite marraine est partie

    Petit papa a repris

    Pour préserver ces doux moments

    Où l'insouciance défie le temps.

    Belle, Judith, Bastien, Sarah

    Vous êtes loin mais toujours là

    Et dans la confection des tourtous

    Petite maman c'est si doux

    De se fondre dans ce cocon

    Où la vie est sans façons...

    Petit village de mon enfance

    Tu es mon ancrage, ma chance

    De survivre au quotidien

    Sans toi, je ne serais rien...





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  • Les notes de cristal s'égrènent comme des arpèges

    Elles résonnent si claires, elles sont là, elles allègent

    Cet enchevêtrement, complexe et entêtant

    De tous ces sentiments tissés étroitement...

    Colère, fatigue, révolte, joie comme déceptions

    S'entremêlent, se nouent, aggravant la tension

    D'un coeur déjà trop plein qui déborde soudain

    Dans un torrent de larmes qui balaie toutes les armes

    Mais le rire salvateur, qu'il soit fou à pleurer

    Libère, bouffées d'air goulûment aspirées,

    Celles que nous humons souvent avec délices

    Après que l'orage est entré en lice

    Et que l'arc en ciel renaît...

     


    Bon dimanche estival et ensoleillé..


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  • Pause...

    J'ai goûté au bonheur de ces rares instants

    Où le temps éphémère s'arrête, suspendu

    A ce ravissement qui tel un élixir

    Envahit tout votre être, vous saoûle de plaisir

    Récompense suprême, aboutissement, salut,

    Oui, croquez le bonheur, dévorez à pleines dents,

    Si futiles soient-ils tous ces courts moments

    Où l'on se reconnaît, dans le regard des autres

    Adultes ou bien enfants, quand on devient l'apôtre

    De la foi en la Vie, malgré doutes et soucis...


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  • Une année qui s’achève, comme d’autres années

    Mes zèbres éoliens, cette fois vont s’échapper

    Emportés par Eole, ils vont caracoler

    Vers d’autres horizons, gagner la liberté.

     

    La liberté d’apprendre, celle de s’affirmer

    Grâce aux savoirs acquis, à leur curiosité

    De découvrir le Monde, et de participer

    Chacun à son échelle à la communauté.

     

    Ils s’appellent Dylan, Tristan ou bien Margaux

    Marine et Chloé, Valentine, Gwénaël,

    Louise, Justine, Cindy, Johanna et Léo

    Clémence, Paul et Lucas, Camille et Maëlle

    Albert et Grégory, Noémie et Lilou

    Et encore Simon, Solène et Hugo.

     

    A tous je dis « Merci », ils m’ont tant aidée

    Ils ont tous adhéré, ils ont tout aimé

    Foisonnement d’idées, enthousiasme avéré

    Dans la savane d’Eole, nous nous sommes retrouvés.

     

    L’aventure se termine, mais ils ont dans les yeux

    Les paillettes souvenirs de ces moments heureux

    C’est le plus beau cadeau qu’ils puissent jamais offrir

    A celle qui fait des rimes pour garder le sourire…


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  • La moiteur de la nuit, juste un quart de lune

    Qui m'emporte bien loin, dans un endroit au chaud

    Où pourrait s'envoler le poids de tous les maux

    Qui m'ont brisé les ailes, pathétique fardeau...


    Dans l'obscurité, j'écris au clair de ma plume,

    Lueur frémissante de la vie qui bouillonne

    Dans un cerveau trop plein et qui souvent résonne

    D'images contradictoires de sensations "errones"

     

    Mais qui joue sa survie, demain pour aujourd'hui...





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  • Il est souple et nerveux, toujours sur le qui vive

    Se détend violemment mais sans chercher l'esquive

    Si décharné qu'il fut, il porte des stigmates

    Que curieuse je contemple, faisant courir mes doigts

    Me réapproprier doucement et sans hâte

    Ce drôle de squelette qui  maintenant est moi.

    Il a gardé pourtant toute sa vivacité

    La démarche est coulante et le port altier

    Des formes androgynes qui cachent un coeur de femme

    Sensible et écorchée, parfois désespérée

    Mais pour laquelle l'espoir brille comme la flamme

    Qui nourrit chaque jour ce corps tant détesté.


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  • "Si tu ouvres mon coeur, tu y trouveras deux roses

    L'une qui souffre, l'autre qui chante."

    La première est en cage et a l'humeur morose

    La seconde s'évade en haut d'un promontoire

    Qui domine la mer sereine et souriante,

    Horizon imprenable synonyme d'espoir.

    C'est une rose rouge miroitante de rosée

    La première, toute noire, désespoir avéré

    Vulgairement hybride, Camarde emprisonnée

    La rose rouge, elle, sauvage a poussé

    Telle le coquelicot, tout près d'un grand fossé...

    Implacable duel, car le gant ont jeté

    Ces deux roses s'affrontent, qui va donc l'emporter?


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