• Lettre ouverte à nos élus

    Le chant du cygne

    Monsieur le président, Monsieur le 1er Vice-Président chargé de la Culture, messieurs et mesdames élus les maires, élus par tous,

    Nous sommes des citoyens et des électeurs ; nous vivons dans une belle communauté de communes dont l’aspect extérieur paraît  irréprochable.

    Nous sommes aussi des parents dont les enfants fréquentent des écoles dynamiques, jusque là soutenues par cette communauté de communes pour le bien-être de ces enfants.

    Ceux qui, entre autres,  ont connu l’époque de Robert Gabel savent à quel point il lui était cher de privilégier ceux que nous sommes devenus aujourd’hui.

    C’était sans doute l’âge d’or, où tous les adultes concentraient leurs forces pour améliorer l’éducation de ceux, qui, malheureusement n’auraient pu autrement accéder à tout ce « luxe » ; lequel  consistait à faire bénéficier à tous  de ce qui est habituellement réservé à un petit nombre. Et ce, grâce au district d’abord, puis à la communauté de communes jusqu’à il y a trois mois.

    C’était l’âge d’or, car nous vivons dans un cadre exceptionnel, et les élus n’hésitaient pas à investir et s’investir  pour ouvrir les yeux de ces enfants sur la chance qu’ils avaient de pouvoir en profiter.

    C’était l’âge d’or car dans les écoles, les élèves avaient le « luxe » de voir arriver des professionnels pédagogues qui leur ouvraient les portes de la musique.  Véritable mélodie de l’entente de tous dans l’intérêt des enfants.

    Mais le chant de la communauté de communes est devenu discordant quand elle est devenue cygne. A l’apogée de son règne, elle brille de façon éclatante, avec un cri détonant. Les enfants  vont devoir se boucher les oreilles car on les sacrifie pour lustrer le plumage du cygne.

    Alors, pour conclure, messieurs les élus, ne serait-il pas possible que le cygne de la comcom  reste aussi beau tout en accordant sa voix à celle de ces futurs électeurs ?

    Ne serait-il pas possible que vous trouviez les moyens de poursuivre l’œuvre entamée par vos prédécesseurs   pour ne pas leur donner l’impression que ce qu’ils ont fait est totalement caduc, et ne pas donner l’impression aux futurs adultes de cette communauté de communes qu’ils vont vivre dans une société dramatiquement injuste ? Le chant du cygne change, selon la légende, au moment de sa mort. Changez  la légende ! Le cygne est beau ! Que son chant s’accorde avec sa beauté de son vivant ! Et avec celui de vos électeurs.


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  • Une nouvelle aventure a débuté... 29 petits "exploventeurs" ont découvert  Léonard de Vinci, lequel grâce à son génie va leur permettre de reproduire "la machine volante" pour aller à la rencontre de Christophe Colomb à travers les siècles comme à travers les continents. Ils vont être accompagnés de leur mascotte, "Gigi" qui sera le fidèle témoin des péripéties qui animeront leur périple...


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  • Le loup Théodore a été retrouvé! Il sera sur la scène le mardi 25 juin. C'est un grand artiste incompris! Il en avait marre d'être le méchant des contes: il veut être célèbre autrement! Alors, il a donné rendez-vous à toute une école mardi prochain pour faire la fête dans une salle digne de son talent... Et nous aussi, nous serons au rendez-vous...


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  • Le chaperon « chelou » s’exclame :

    -          C’est lui, c’est Théodore ! Je le reconnaîtrais entre mille… 

     

    Et nous voilà repartis dans une course effrénée. Théodore semble ralentir. Au milieu d’une clairière, dans un rayon de soleil qui à travers les arbres a une couleur verte, un livre, NOTRE livre.  Théodore saute dedans, suivi par le chaperon chelou, par Lou Ann… bref, vous connaissez la suite.

    Nous atterrissons… sur une scène de spectacle ! Mais oui, c’est  « le Rayon Vert ». Les arbres sont devenus des décors, nous sommes costumés et nos parents nous applaudissent à tout rompre.  Et Théodore ? On aperçoit son museau dans les coulisses. Théo et Quentin l’obligent à venir parmi nous.

    -          Pourquoi t’es tu enfui ? questionne Ninon.

    -          Parce que j’en avais assez d’être le méchant des contes, répond notre loup. Je veux m’amuser moi. C’est pour ça d’ailleurs que je suis ici aujourd’hui. J’ai envie de « Rire et Danser »…

     

    Et c’est dans la bonne humeur que tout le monde se retrouve autour de Théodore pour fêter son retour en chantant et … en dansant !

    Qu’est-il arrivé ensuite à  nos héros ? Si vous vous posez la question, à votre tour,  plongez dans les contes de M. Perrault…

     

     

     

     


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    Nous obéissons. Nos amis pénètrent dans la grotte. Nous nous postons à l’entrée. Une faible lueur danse sur les murs. On entrevoit des ombres qui se déplacent ; en même temps, des sons inquiétants nous font dresser les cheveux sur la tête ! Puis, une musique… Une voix maléfique et si envoûtante qu’on dirait qu’elle se répercute sur les parois de la grotte !

     

    Soudain, les murs s’effacent : il ne reste qu’une vieille sorcière qui crache du venin.

    -          Qui êtes-vous ?

    -          Nous sommes…

    -          Que voulez-vous ?

    -          Nous voulons …

    -          Hors de ma vue ! Laissez moi tranquille !

    En même temps qu’elle parle, elle vomit des serpents et des crapauds.

    -          Je vous reconnais ! Vous êtes Fanchon ! hurle Maxence

    -          Oui, c’est moi !

    -          Qu’avez-vous fait au loup ?

    -          J’ai dû le chasser de sa tanière car je n’avais plus de maison ! Comme vous le voyez, une fée m’a jeté un sort et plus personne ne veut entendre parler de moi ! Ma sœur est mariée à un prince et moi.. à une vipère ! Tant mieux, je hais les humains. Partez avant que je ne me mette en colère.

    -          Mais dites-nous…

    -          Fichez le camp, bande de petits morveux !

    Nous ne demandons pas  notre reste et nous nous sauvons en courant avec dans la tête toujours la même question : «  Mais où a donc bien pu passer Théodore ?! »

     

    Nous nous retrouvons essoufflés à l’orée de la forêt. Dans un halo de jour, une fée. Au loin de la musique semble flotter dans l’air, comme la fée.

    -          Ca y est, on hallucine ! s’exclame Ninon.

    -          Mais non, reprend Elouen, c’est vraiment vrai !

    -          C’est une vraie fée ? questionne Pauline.

    -          Ben, oui, répond Adeline. Regarde, elle veut nous dire quelque chose.

     

    En effet, la fée, volette autour de nous comme pour nous guider vers la musique. Elle sème des flocons de lumière sur le chemin. La musique est de plus en plus forte. Nous arrivons près d’un château.

    -          Mais, c’est le château de la reine Cendrillon ! s’émerveille Pauline.

    -          Non, c’est celui de la Belle au Bois Dormant, lui répond Elouen.

    -          Ne vous disputez pas, gronde Célia. Entrons plutôt.

     

    Tout le monde obéit. Nous entrons dans le château. Et là, dans le grand hall, ô surprise… tous les personnages portent… des loups…. Et ils dansent… Nous nous joignons à eux.

    -          Peut-être que Théodore est ici, chuchote Ambre.

    -          Arrêtons de le chercher et amusons nous ! rétorque Célia.

     

    Au même moment, nous croyons apercevoir une silhouette familière qui s’enfuit. 

     

     

     

     

     

     


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